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Colette

Se présenter, exercice difficile ! Pour l’âge, je ferai durer le suspense jusqu’au bout (ne pas tricher en allant à la dernière ligne !).
J’habite la Charente-Maritime, à St-Savinien, charmante petite bourgade assez connue, puisque située entre Saintes, St-Jean d’Angély et Rochefort, bref sur la route de l’ile d’Oléron. St-Savinien est traversé par le fleuve Charente, joliment nommé par François 1er, natif de Cognac :
le plus joli ruisseau de mon royaume« .

Mes hobbies : natation, jardinage, promenades et baignades dans l’océan si proche, Internet bien sûr mais aussi et surtout le piano pour m’évader en jouant (modestement) aussi bien du classique (Chopin en particulier) et des mélodies de Julien, comme Ma Préférence, This Melody (pas des plus faciles d’ailleurs). Notre Julien semble affectionner les dièses et les bémols !

Mon attachement à Julien et son immense talent est récent puisque je suis tombée « dans la marmite » en 1996 (décès de mon mari, le même jour que François Mitterrand), en le voyant pour la première fois aux Francofolies de La Rochelle au mois de Juillet. Chaque jour gai ou triste, ses chansons m’accompagnaient et m’aidaient à traverser cette épreuve.

Depuis, l’enchantement ne s’est jamais interrompu.

Puis 2002 et Julien déménage ! Comme on dit, « je monte à la capitale » où j’assiste à deux de ses concerts, le premier au Casino de Paris et le second au Zénith. Souvenir inoubliable qui se renouvelle à chaque fois que je revisionne le DVD.

2005 – De nouveau, le malheur frappe à ma porte avec le décès de ma fille unique qui laisse derrière elle, trois magnifiques petites filles (hé oui, je suis grand-mère).
Là encore, sans le savoir Julien est à mes côtés pour m’aider à retrouver une joie de vivre que je croyais à jamais perdue.

31 Mai 2006 – Concert de Julien au Parc des Expos de La Rochelle.
Immense bonheur de voir Julien au mieux de sa forme, son sourire ravageur et ses clins d’œil complices, sans parler de sa voix chaude et envoûtante…

Ma fierté : avoir réussi à transmettre ma passion à la dernière de mes petites filles. C’est super que la jeunesse suive.
Mes trois chansons préférées :
Ma Préférence
Ce n’est rien
Le piano éléphant
Et toutes les autres !!!!

J’oubliais, ma date de naissance : 1935 !! Pour ma défense, d’après mes petites filles, je suis une grand-mère super jeune et tonique que leurs copines envient parait-il. Cela donne des ailes.

Un grand merci à Julien.

Lire son récit de concert à La Rochelle.

 Jean-Loup

Je connais Julien depuis « Hair », donc quasiment depuis le début. Je suis presque son contemporain (seulement trois ans nous séparent !). Je suis pédiatre praticien (en France, on dirait « libéral »), et je vis à Lausanne en Suisse, avec Johanne, ma « blonde » québecoise, et mes deux soleils : Jonas 10 ans et Justine 7 ans. De ma première vie, j’ai encore trois enfants adultes. (Il y a trente ans, j’ai perdu un garçon, qui s’appelait… Julien !)

J’adore la chanson francophone surtout, et, entre autres, outre bien sûr « qui vous savez », les grands Brassens, Barbara, Aznavour, Vigneault, Charlebois, Fugain, et tant d’autres… (Michel Jonasz, Nougaro, etc.) Mon autre passion c’est le théâtre, où je m’éclate depuis près de vingt ans. J’ai eu beaucoup de plaisir à faire cette recherche – écrire – sur cet ami de presque toujours : Julien. Peut-être parce que je me retrouve pas mal dans ses textes… et un peu dans son caractère..!

J’ai accepté d’être un de tes rédacteurs, parce que je trouve que ton site prend de l’ampleur et regroupe aussi les « amis de Julien » qui ont autre chose à dire que certain(e)s sur le forum du site officiel !!!

Karin

En mai 1968, j’ai 13 ans.
A Bruxelles, sur ma petite radio, j’écoute les événements qui se passent à Paris et en France. Au milieu de tout ce « chaos », soudain, surgit une voix hors du commun : c’est « la Cavalerie »…je suis sous le charme…
Quelques semaines plus tard, j’entends cette même voix mais dans une chanson plus belle, plus mélodieuse, plus « chevrotante » (comme on disait à l’époque) et là, c’est le coup de foudre ! Je veux tout connaître de ce chanteur, acheter tous ces disques…mais quand je découvre son visage dans « Salut les copains », je vis mon premier grand amour…Depuis ce jour, Julien ne m’a plus quittée…cela fait maintenant 38 ans.

Faites le compte, j’ai donc aujourd’hui 51 ans, une fille de 16 ans, Mélina (et non Mélissa…), j’habite près de Bruxelles et je vais voir tous ses concerts en Belgique, à Paris et dans le Nord de la France ! Ma « flamme » ne faiblit pas et je dirais même « au contraire » ! Avec l’urgence du temps qui passe, je ne veux rien rater, profiter de chaque instant ou je peux le voir…
J’ai beaucoup voyagé, j’ai vécu plusieurs années en Amérique du Sud, mais toujours avec dans mon sac à dos, 2 ou 3 cassettes avec mes chansons préférées …

Parmi celles-ci, j’ai un faible pour « le cœur volcan » et les plus anciennes ( nostalgie…) comme « les menhirs » ou « sur tes pas ». Mais je ne suis pas très objective quand je parle de Julien…J’aime évidemment TOUTES ses chansons ! J’ai tendance aussi à préférer les chansons moins connues du public, comme « blues indigo » ou « chanson pour elle ».
J’adore « Horizon chimérique » et « donne moi de tes nouvelles »

J’ai dû le voir une cinquantaine de fois en concert mais ce n’est que cette année, grâce à vous, que j’ai eu le grand bonheur de l’approcher et de lui parler ! Cela restera un des meilleurs souvenirs de ma vie…

Liliane

J’ai 50 ans, mariée, 2 enfants coréens adoptés (une fille de 23 ans et un fils de 18,5 ans), j’habite à Verviers (près de Liège) en Belgique et je suis enseignante. Je donne des cours d’anglais et de néerlandais à des jeunes de 12 à 15 ans. J’adore mon métier mais même après autant d’années il demande beaucoup d’innovation et punch afin de continuer à motiver les élèves.

Je suis fan de Julien depuis …. le début ! Je pense vraiment faire partie du club des patineuses! Lorsque j’étais jeune (hum!hum) on ne voyait plus le papier peint de ma chambre, les murs étaient recouverts de photos, dès que j’ai pu (mes parents étaient très sévères et une fois,j’e suis restée dehors devant la salle de spectacle durant tout le concert car je n’avais pu me payer le billet et mes parents refusaient de me le payer,c’était vers 1972,73,je pense) j’ai assité à tous les concerts de Julien en Belgique; j’entraînais mon copain (qui est devenu mon mari) dans toutes les salles pour revoir le même concert .Maintenant mon mari ne m’accompagne plus qu’une seule fois ! Il accepte ma « folie » mais comprend difficilement , de toutes façons il le savait avant qu’on ne se marie et puis n’est pas la preuve que je suis ….. fidèle à quelqu’un !!!!! Donc il devrait être rassuré. Petite anecdote: nous étions à l’étranger et nous avions besoin d’une photo pour des papiers administratifs: mon mari en avait une de moi dans son portefeuille ; moi pas mais …. j’avais une photo de Julien et des tickest de concert !!

Mon entourage est au courant et sourit (ma directrice a accepté de changer la date d’ une réunion de parents car je devais aller à un concert à cette même date et j’avais le billet depuis longtemps, maintenant quand il y en a, je lui donne les dates en début d’année scolaire !!!!) Certains collègues mettent dans mon casier les articles qu’ils trouvent des des journaux et des revues. Tout le monde est super gentil avec moi mais personne ne partage vraiment ma passion et ça c’est pas facile car je vais toujours seule au concert. Les chansons de Julien m’accompagnent toujours, je sais quel CD écouter en fonction de mon état d »âme. Mettre une chanson de Julien « à fond » m’a souvent empêché de pleurer car je chante et j’oublie pour un moment., le contraire arrive aussi: je suis heureuse et je mets du Julien ! dans ma voiture idem et là au moins je ne « dérange » personne.

J’ai pris beaucoup de plaisir à rédiger le texte pour plusieurs raisons.Tout d’abord, j’ai pu mettre par écrit ce que je ressentais vraiment en écoutant les chansons de Julien Clerc et comme ce n’est pour moi, que du bonheur, j’ai essayé vraiment de le transmettre aux autres.J’ai aussi relu des articles et revisionné certaines cassettes, donc moments très agréables : j’ai enfin pris le temps de faire ce qu j’aimais, je me suis fait plaisir! Et puis, comme j’apprécie Carla Bruni , j’ai pu , par mes recherches, la découvrir un peu mieux . Et là aussi j’ai voulu que les autres sachent pourquoi Julien a tenu à travailler avec elle ; j’ai moi-même essayé de le comprendre en lisant entre les lignes les différents interviews.

Maryse

Mi-Gasconne, mi-Bordelaise, ,je suis une fan de la 1re heure, c’est-à-dire depuis mai 68, et ce jour où j’ai ressenti un véritable coup de foudre à la 1re audition de « La Cavalerie ». Je savais que je venais de trouver l’artiste qui me « correspondait », celui qui saurait me faire voyager.

Je l’ai tout de suite aimé parce qu’il ne ressemblait à personne, qu’il avait une vraie personnalité, un monde à lui. Tout en lui m’a plu tout de suite : sa voix, évidemment, ses mélodies, ses textes, son look, et il était si beau ! (il l’est toujours, même encore plus). Au fil des ans, j’ai apprécié sa bonne éducation, sa classe, son intelligence et sa pudeur.

Violaine m’a demandé de choisir 3 chansons préférées, mais dans un tel répertoire, quelle difficulté ! Enfin, puisqu’il le faut, je dirais : « Le cœur volcan », « Amazone à la vie », « La petite Sorcière malade », et là,je ne parle que de mes préférées de Roda-Gil. J’aime son côté flamboyant, baroque, surréaliste, les images que suscitent ses textes. Il y a des phrases que j’adore comme « et j’abandonne les lévriers à leur démarche lassée, compassée » ou « ma vie est une blonde qui danse la samba » ou encore « Sur ses jambes croisées se déchire un murmure, c’est la matière de ses bas ».
Roda-Gil m’émeuvait quand il parlait de Julien, toujours avec ce que l’on peut vraiment appeler de l’amour.

Julien m’aide à vivre jour après jour, à surmonter la routine, à évacuer ma mélancolie. Je suis heureuse qu’il existe tout simplement. Je me passe souvent en boucle « Les Séparés » ou « Horizon Chimérique ». Quelle splendeur que les mélodies qu’il a mises sur ces textes ! C’est beau et ça me fait pleurer à chaque fois, mais ça me fait aussi du bien !

Moi qui circule beaucoup, je ne peux concevoir mes trajets sans des CD de Julien. Je chante avec lui, et je fais le vide de tout le reste.

Quant à ses spectacles, j’en ressors avec une euphorie, une « pêche » incroyable. C’est pour ça que je ne m’en prive pas et pour le moment, j’en suis à 42 concerts vus depuis ses débuts, et j’espère que ça va continuer !

J’ai pris un plaisir extrême à me repencher sur la vie de Roda-Gil et de Maxime Le Forestier. Ce « travail » m’a permise d’aller plus « en profondeur », de les percevoir mieux, d’apprendre encore beaucoup de choses, même en étant « fan de base ». Je me suis « régalée » à relire leurs textes que j’ai lus comme de vrais poèmes, même si je les connais par cœur, car j’ai remarqué qu’on peut oublier un poème, mais que les paroles des chansons qu’on aime ne s’oublient pas et sont en nous pour toujours.

Lire ici les rencontres de Maryse et de Julien Clerc

Myriam

J’ai 46 ans, je suis née dans le Nord et j’y habite pas très loin de Lille. J’ai deux grands enfants : Fanny qui a comme deuxième prénom Cécile, et oui… et bien sûr un garçon qui, quand j’étais adolescente, je m’étais jurée d’appeler Yann.

J’aime Julien depuis ma plus tendre enfance, si j’ose dire. En fait, tout a commencer en 68 au moment de la comédie musicale « Hair ». J’avais donc 11ans, et j’étais encore une petite fille extrêmement pudique (encore maintenant, mais moins quand même…). Donc en 68, on parle de « Hair » et dedans, on parle d’un jeune chanteur qui serait nu sur scène. J’en ai été très choquée, le mot est même faible. Et j’ai haï ce jeune chanteur qui pouvait se mettre nu sur une scène. Et en même temps on passe à la radio deux chansons, l’une était « Alouette » (par, je crois, Gilles Dreux) et une autre (là je suis pas sûre) ça doit être « La Cavalerie  » par un certain Julien Clerc, le même cité plus haut.

Je me souviens à l’époque d’un petit jeu avec ma mère, à savoir savoir reconnaître qui est qui, car ils avaient la même voix. Et souvent, je gagnais déjà car je savais reconnaître sa voix sans me tromper. Sans savoir qu’il entrerait 4 ans plus tard dans ma vie et me soutiendrait dans mes moments les plus durs et les plus gais. Donc les annèes passent, ma sœur est très fan de ce Julien Clerc et elle nous ennuie avec lui en achetant ses disques. Et elle arrive même à aller à un de ses concerts, où, à un moment, dans la foule, on la prend pour Julien !!! C’est vrai qu’à l’époque, elle lui ressemblait beaucoup. Elle a eu beaucoup de mal à expliquer qu’elle n’était pas Julien. Heureusement elle était avec un de mes frères qui l’a protégée. D’ailleurs, coïncidence, dans le clip « Les séparés », j’ai été très choquée car, quand j’ai vu Julien, j’ai reconnu le profil de mon père. J’en suis restée clouée sur place.

Voilà pour l’anecdote, maintenant revenons-en à moi qui, hélas, ne lui ressemble pas du tout. En 73, ma sœur se marie et oublie Julien ; elle a mieux à penser. Elle laisse chez nous ses 33 tours de 70 et 71. Je me dis « tiens, je vais les écouter pour savoir pourquoi toutes ces filles sont folles de cet homme ». Et là, bing !, ça me tombe dessus, et les mots, sa voix, me font vibrer à un point tel que je ne sais exprimer ce que j’ai ressenti. J’étais en pleine adolescence et cet homme me disait des mots que j’aimerais qu’un homme me dise. Et cette voix………….. je suis sortie KO de cette écoute, et voilà comment j’ai découvert Julien Clerc.

Pour moi, c’est un homme droit, pudique, contrairement à ce que j’ai cru. Il n’a jamais eu la grosse tête. Bref, Julien, pour moi, c’est à la vie, à la mort, et qu’importe ce qui lui arrive, je serai toujours là pour lui, comme il a été là pour moi dans les coups durs.

Nicolas

Je suis né quelque part en Lorraine au milieu des années 80. Je suis la preuve qu’on peut aimer Julien sans jamais en avoir eu dans mon biberon ! Ma passion est venue assez tardivement, en l’an 2000 (époque « Si j’étais elle »), je ne sais comment l’expliquer mais Julien s’est alors imposé à moi très rapidement. Je venais de rentrer au lycée, peut-être à l’époque cherchais-je des repères solides… J’ai petit à petit acheté tous ces albums, j’aime tout mais la préférence va pour l’époque du fameux clan des patineurs. J’ai vu Julien pour la première fois sur scène lors d’un concert des Enfoirés (à l’époque de la tournée) à Amnéville en 2001, et mon premier « vrai » concert de Juju remonte à 2002, quand Julien a « déménagé » dans toute la France.

Les titres que je préfère (mais peut-on vraiment faire un choix ?) sont « Sur tes pas », « Jouez violons, sonnez crécelles », « Berce-moi », « Donne-moi de tes nouvelles », … Peut-être auront-ils changé dans une semaine ! Je sais, les titres que je donne sont tous d’Etienne Roda Gil mais ce n’est pas pour autant que je n’apprécie pas Jean-Loup Dabadie, Maurice Vallet, David McNeil et tous/toutes les autres, loin de là.

A 18 ans, jje connaissais tout de Julien, j’avais tous ses albums… Je me suis dis que je ne pouvais pas rester toute ma vie à écouter et réécouter une vingtaine d’albums ! Tout ça pour dire que j’apprécie également d’autres artistes : Michel Sardou surtout, mais aussi en vrac Jacques Brel, Alain Souchon, Marie Laforêt, Vincent Delerm, Bénabar, Charles Aznavour, Joe Dassin. Mais Julien restera toujours le premier.

Nicole

Les trois chansons que je préfère parmi celles qu’Étienne a écrites pour Julien sont : « Le patineur », principalement pour la musique, je crois. En écoutant cette mélodie, j’ai vraiment l’impression de « voir » ce patineur glisser, glisser…

« Poissons morts » me rappelle les vacances, souvenirs d’amitié aussi : j’avais acheté ce disque lorsque j’étais en vacances sur la Côte d’Azur, avec mes parents et des amis, et c’est vraiment de cette période dont je me souviens. J’écoutais ces chansons avec des amis français à cette époque-là (et l’un de ces amis est décédé il y a six ans maintenant). Donc, j’aime me souvenir des bons moments en réécoutant ces anciennes chansons comme également « Bourg-la-Reine », « Si tu reviens », etc. Je sais bien que « Poissons morts » n’est pas une chanson drôle, et je sais aussi que mes amis de cette époque n’aimaient pas Julien. Moi, je ne passais que ce disque, un peu pour les contrarier. Et principalement cette chanson qu’ils n’aimaient pas ! Donc quand je l’écoute encore maintenant, je repense à cela. Cela peut paraître bizarre, mais bon ! Nous avions 20 ans à peu près et nous étions un peu bêtes !

Je dois dire aussi que j’attache peut-être plus d’importance aux mélodies qu’aux paroles des chansons. Il y a bien sûr des exceptions comme, par exemple, « Souffrir par toi n’est pas souffrir » et tout cet album n°7 dont il faut surtout écouter les paroles ! J’étais très triste à l’époque de la séparation de Julien et France Gall. On le sentait tellement malheureux !

D’ailleurs, ce disque tout noir reflétait très bien son état d’esprit de cette période de sa vie. Cela ne me concernait pas directement, mais j’avais mal pour lui !

Mini Biographie

Je me présente tout d’abord. J’ai 52 ans et j’habite en Belgique, à Waterloo très exactement.
Je suis mariée depuis 25 ans.
Je suis maman de 2 garçons (l’un de 24 et l’autre de 20 ans, et aussi grand-mère de 2 adorables petites-filles – dont la dernière est née ce 13 décembre).
Je suis fan de Julien depuis 1968. Depuis ce jour, je n’ai raté aucun de ses concerts à Bruxelles.
Les autres chansons, je les aime, tout simplement parce que c’est Julien qui les interprète et que je l’adore !

Un jour j’ai eu l’occasion (c’était en 1976) de faire la bise à Julien lors d’une séance de dédicaces qu’il faisait à Bruxelles, près de mon boulot. À un certain moment, il s’est trouvé à côté de moi, et là, cela tourne très vite dans ma tête, il faut que je lui dise quelque chose. Je lui ai donc demandé : « Je peux te faire la bise ? » Et très gentiment, il m’a répondu « Mais oui ». Inutile de dire dans quel état je me trouvais, avec mon amie, lorsque nous sommes revenues au bureau !

Je ne pense pas avoir grand chose à dire sur Étienne, sinon que j’adore les textes des chansons qu’il a écrites. Ma préférée restant « La fille de la véranda ». Je ne sais pas dire pourquoi cette chanson est celle de Julien que je préfère… Mais à chaque fois qu’il sort un nouvel album, je me dis que c’est le plus beau !

Sinon, dès que je le peux, j’écoute Julien (en voiture, au bureau, dans mon bain…). J’adore !

Pourquoi j’ai contribué à la rédaction? Cela m’a fait énormément plaisir de faire quelques petites recherches concernant Maxime Le Forestier. C’est une très bonne idée de pouvoir parler des auteurs qui ont entouré Julien pendant toute sa carrière, et contribuer ainsi à nous les faire découvrir sous un autre aspect. Ainsi pour Étienne Roda-Gil, j’ai été très surprise d’apprendre sur ce site qu’il était l’auteur de plusieurs livres et qu’il avait même fait du cinéma ! Je savais en revanche qu’il avait écrit pour d’autres chanteurs, mais je ne pensais pas qu’ils étaient aussi nombreux.
Je pense que ce n’est pas parce que l’on adore Julien qu’il faut ignorer les autres artistes qui contribuent aussi à la réussite de sa carrière. Je souhaite vraiment que cela intéresse tous les futurs visiteurs de ce nouveau site…

Sylvie

J’ai 48 ans  je suis assistante juridique, j’ai une fille de 24 ans urgentiste, et je réside à Noisy-le-Grand en région parisienne.. Mon concert préféré …. Difficile de choisir peut être celui du  Théâtre des Champs Elysées  en 99.

Je vous lis et pour moi ,et bien non ! pas de murs recouverts de posters de Julien à l’adolescence, seulement une seule. Ma première « rencontre avec Julien » a eu lieu lorsque j’avais 13 ans et je ne ressassais  « La Cavalerie ». Ce juillet là  j’étais en vacances à Quiberon avec mes parents. Julien devait chanter pour un concert d’un soir. Mes parents ne m’ont pas autorisée à y aller. Mais en fin d’après-midi alors que je revenais de chez le boulanger (je m’en souviens comme si c’était hier), je passais devant le cinéma où Julien devait se produire, là, surprise une voiture s’arrête, un attroupement se forme et je vois descendre un grand échevelé en manteau de fourrure, je suis restée à l’écart, et à partir de là, le charme a continué à opérer.

Je m’étais tenue à l’écart à Quiberon en …. et jusqu’à 2005 je m’y suis toujours tenue, malgré le fait que je ne rate jamais un de ses albums ou ses concerts. Je suis une fidèle inconditionnelle sous conditions (je n’aime pas le mot « fan » = fanatique – mot dangereux). Je ne fais pas tout en fonction de Julien , je garde mon « libre arbitre » en ce qui concerne certaines de ces chansons, les appréciant certes mais sachant aussi les « analyser » à ma façon donc d’une manière somme toute relative.

Depuis le temps de Quiberon bien des choses ont évolué, c’est moi qui emmène mes parents maintenant aux concerts, ma fille, mes amis, et avec ma « tata yoyo » à moi qui a 84 car, je ne conçois(s à retirer) la vie que dans le partage, matériel et immatériel, comme le sont les souvenirs d’une soirée, la communion par l’émotions.

Pourtant j’ai défailli à la règle de laisser le mythe au mythe et après avoir été au concert de l’Olympia, je suis allée à celui du Zénith à Paris le 20 mai 2006, là  durant son concert  après « Cœur Volcan »  une de mes chansons  préférées, je lui ai remis un bouquet de fleurs bien spécial, lorsque je lui ai tendu  ce bouquet, je n’oublierai jamais son sourire et son regard. Puis à la fin du concert j’ai demandé à le voir et cela me fût permis, mais j’avoue qu’en étant dans cette salle où se trouvaient des invités connus et non-connus, je ne me sentais pas à ma place, j’étais confuse, je me suis donné des « coups de pieds aux fesses pour aller aborder Julien, et maladroitement je lui ai dit merci. j’étais gauche (je suis en général de gauche (lol)) mais là plus précisément, gauche, à bafouiller et à m’éclipser sitôt la bise faite pour ne pas le déranger, un retour flash back à Quiberon de 38 ans !

Et mon mari, et bien en m’épousant il a eu cette dote de me prendre moi avec mes passions (musique, peinture) et Julien. Pas de problème donc.

En somme, plus que l’homme car tout homme est semblable à un autre (du moins cela devrait l’être) c’est l’artiste et le mélange des mélodies, des textes et de l’interprétation qui fait que Julien me touche.Il sait si bien composer la mélodie qui convient aux mots. Car composer de bonnes harmonies cela est possible, mais la perception de la musique est  subjectives(s à retirer)  puisque chacun est plus ou moins sensible à la mélodie, écrire de jolies paroles est un art tout autant difficile mais pas impossible non plus, chanter est donner à tout le monde (plus ou moins bien) c’est vrai, mais savoir naturellement comme sait le faire Julien conjuguer l’ensemble c’est ce qui fait toute la différence et toute ma préférence à moi.

A Rambouillet j’ai été interviewée par un journaliste à l’occasion du Festival où j’étais venue avec certaines de ce Forum et ma fille Aurélie.

Mais ce qui me subjugue c’est que sans même être à un concert, même sans le voir,  lorsque j’écoute Julien je l’entend souffrir ou je l’entend sourire… C’est cela qu’on appelle un excellent artiste (dans son domaine chant-musique) car il est en plus doué du sens de l’interprétation.

N’est pas chanteur qui veut
Dans un monde aux trésors
N’est pas aimé qui veut
Sur les scènes couleur or
Lire ici les récits des concerts de Julien Clerc